« J’ai la nostalgie d’une de ces vieilles routes sinueuses et inhabitées qui mènent hors des villes… une route qui conduise aux confins de la terre… où l’on
puisse oublier dans quel pays on voyage … sur laquelle on chemine comme un pèlerin, n’allant nulle part... où l’on ne rencontre que de rares voyageurs … où l’esprit est libre… qui vous conduise
jusqu'aux régions les plus éloignées de la terre… elle est rare assez large… aussi large que les pensées qu’elle vous inspire… »